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31 décembre 2011 6 31 /12 /décembre /2011 09:10

 

 

 

 

Quand on se penche sur l'itinéraire de vie de notre président, un constat s'impose : Nicolas Sarkozy n'aime ni la France, ni les Français. Il n'aime que l'argent et le pouvoir.

 

°°°

 

Quand on aime un pays, on en aime la culture. On en aime la langue. On en aime les paysages. On en aime l'histoire.

Nicolas Sarkozy, comme des millions d'autres Français, n'a pas une histoire française ancienne. Il s'en est même fallut de peu pour qu'il ne naisse pas français! Pas grave! (voir plus loin)

 

Cela dit, tout s'est toujours passé avec lui comme s'il ne retirait aucune fierté d'être français, comme s'il n'aimait pas la langue française, comme s'il n'aimait pas la culture française, comme si la France ne l'intéressait pas.

Il est né dans un milieu bourgeois, avait donc toutes les bonnes raisons pour accéder à la culture et à la langue. Ce ne fut pas le cas.

 

La langue

 

Notre président, bien qu'avocat de formation, ne possède pas notre langue. Il la malmène sans cesse. Pour tout dire, on pourrait dire qu'il la méprise.

Le français ne semble être, pour notre président, qu'un outil comme un autre pour communiquer. Quand il s'exprime, on ne ressent jamais cette espèce de fierté que l'on trouvait chez un de Gaulle, chez un Mitterrand et même chez un Le Pen.

Quand il s'exprime, notre président est vulgaire. On a même le sentiment qu'il revendique cette grossièreté (« Casse-toi, pauv'con ! »).

Des mots comme « chrétienté » sont écornés (prononcé « chrétienneté ») comme s'il s'agissait d'un premier emploi !

 

La culture

 

Notre président n'aime pas la culture française. Dénigrer « La princesse de Clèves », c'est dénigrer la littérature française, dénigrer notre culture. Emmener Bigard dans ses bagages pour aller voir le Pape, c'est mépriser la culture française.

Ne pas connaître le cinéma français, c'est ne pas aimer la culture.

Attendre d'avoir presque 60 ans pour lire Flaubert, c'est ne pas aimer la culture française. Et l'on pourrait multiplier les exemples à l'infini.

Quand voyons-nous notre président visiter une exposition ?

 

La terre de France

 

Notre président n'aime pas le pays France. Il n'a jamais vécu qu'en ville. On ne lui connaît aucun lieu de résidence ou de vacances à la campagne, à la montagne ou à la mer. (La propriété du Cap Nègre appartient à la famille de son épouse).

Les seuls moments où il foule la France, c'est pour faire de l'exercice à vélo, jamais pour le plaisir simple du marcheur ou la découverte d'un beau paysage.

Pour ses vacances ou ses loisirs, Nicolas Sarkozy choisit un yacht de luxe, la résidence des Busch !

 

L'Histoire.

 

Nicolas Sarkozy n'a jamais évoqué l'Histoire de la France que pour en faire un argument électoral, une manière de marcher dans les pas de Le Pen. Quand il évoque des faits appartenant à notre histoire, il se plante (Guy Moquet,...). Sa référence toute récente à la chrétienté et à la culture qui l'accompagne n'est que politique et mépris à l'égard des Musulmans.

Quand il évoque la création d'un Musée de l'Histoire de France, on a le sentiment qu'il parle de l'installation d'un nouveau super marché.

 

Les Français

 

Nicolas Sarkozy n'aime pas non plus les Français. Il suffit, pour s'en rendre compte, de regarder quelle est sa politique. Une politique toute entière tournée vers les plus riches, vers les profiteurs, vers ceux qui ne visent qu'à s'en mettre plein les poches, vers ceux qui méprisent les autres.

Pas de « Fraternité » chez notre président, pas de « Solidarité », pas de goût pour « L'Égalité ». L'argent, seulement l'argent, rien que l'argent.

On n'aime pas les Français quand on casse son Éducation, on n'aime pas les Français quand on casse son système de Santé, quand on méprise la Justice, quand on détruit l'édifice du Conseil National de la Résistance.

 

On pourrait même évoquer l'inconscient de Nicolas Sarkozy dans ses recherches d'une épouse. L'une ne se revendique-t-elle pas comme descendante directe du grand musicien espagnol Albéniz ? Et une autre est de pure souche italienne !

 

Que reste-t-il ?

 

Quand on n'aime ni le pays dans lequel on vit, ni sa culture, ni sa langue, ni son histoire et ni ses habitants, on est attiré par « ce qui reste » : l'argent et le pouvoir !

 

Explication

 

L'explication de ce comportement est entièrement à trouver dans l'histoire personnelle de l'individu.

 

Son père

Pour son père, un exilé, la France n'a en aucun cas été un pays choisi. Pal Sarkozy n'est devenu français qu'à contrecœur. Voir ICI

Pal Sarkozy ne s'est retrouvé en France que par hasard, faute de mieux. Il n'est devenu français que sous la pression constante de sa belle famille. Lui ne le voulait pas.

 

Il s'est d'ailleurs vite empressé de quitter la France pour aller vivre aux USA. C'est là qu'il s'est remarié, là qu'il a fait carrière dans la publicité. On ne l'a revu en France que pour évoquer des « talents » artistiques douteux.

 

Branche maternelle

Du côté maternel, la moitié de la famille de Nicolas Sarkozy (du côté de son grand-père) est aussi  exilée. Voir ICI .

Des exilés de Salonique, poussés à quitter leur pays, chassés, pourchassés au début du XX siècle.

Mais, eux, avaient choisi la France, voulaient à tout prix s'intégrer et devenir français. Manque de chance, la France ne voulait pas d'eux !

Le grand-père maternel de Nicolas était médecin, participât à la guerre de 14-18, réclamait sans cesse pour obtenir la nationalité française. Mais la France de ce temps-là n'était pas pressée : on raconte que cette France craignait que ces médecins « étrangers » ne viennent faire de l'ombre aux médecins français et rechignait donc à leur accorder une nationalité les autorisant à exercer.

 

 

Conclusion

 

Qu'il s'agisse donc de son histoire paternelle ou de la moitié de sa famille maternelle, la France n'a pas été la meilleure amie des Sarkozy !

Certes elle leur a permis de survivre, de vivre, mais on sent bien que, en dehors de la vénération passionnée du grand-père maternel pour le général de Gaulle (qui explique l'engagement de Nicolas pour Chirac), entre les Sarkozy et la France, ce ne fut jamais une passion dévorante !

 

On peut même penser que, dans sa soif de pouvoir, dans son infinie volonté à accéder à la magistrature suprême, il y a toujours eu, chez Nicolas Sarkozy, non pas le désir « d'apporter quelque chose » à « son » pays mais plutôt un désir de « revanche ».

 

Comme une manière de faire passer un message : « Cette France, dont mon père ne voulait pas, cette France qui ne voulait pas de mon grand-père, je l'ai aujourd'hui à ma botte. J'en suis devenu le président et j'en profite pour en sucer le suc, rien d'autre.»

source blogs médiapart 

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